:
Bien que déjà mort deux fois, je dois vivre,
Malgré les pluies dont la ville délire.
Comme elle est gaie, et joufflue, et radieuse,
Réjouissante pour le soc la couche grasse.
Et comme la steppe au tournant d'avril se tait,
Et le ciel, le ciel, ton Buonarotti!
(...)
Tristia et autres poèmes, Poésie Gallimard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire