mardi 22 mars 2011

De la Goulette, Slaheddine Haddad


"Pas de sens à la mort
N'être là
que pour dresser un bilan
Utile à cette mort
Qui dira de
Quoi elle peut être faite
Serait-elle le début d'une infamie
L'inconnue errante de la vie
(...)"
Depuis la Goulette où il vit, le poète Slaheddine Haddad que la revue Décharge met à l'honneur dans son dernier numéro en lui donnant la parole dès l'ouverture, rend hommage à la vie et à la révolution. Il écrit:

Quel que soit l'endroit où je me trouverai, je sais que ma révolution continuera son chemin et je n'oublie pas de sourire!

Que le sourire du poète ouvre la journée et nous donne envie de poursuivre le chemin, ce serait le souhait de ce printemps.


1 commentaire:

  1. C'est vrai cette révolution c'est ce qui peut nous arriver de mieux avant de mourir ,c'est le meilleure héritage et dans quelques dizaines d'années on en parlera comme de la révolution bolchévique ou des autres,on parlera de la première révolution éléctronique qui a secoué le monde...arabe peut etre le monde au fond de nous meme on sourit :qui a préparé cette révolution?

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